Les choses de la vie
Osciller entre absence et présence, rendre à l’œil sa capacité à être « regardant » sans être voyeur.
C’est ce qu’offrent à voir certains objets. Ces objets, par le biais de l’appropriation, acquièrent une identité qui leur est propre, à la limite entre la nature morte et l’objet « animé », à savoir dotés d’une âme et d’un souffle.
Le corps humain, saisi partiellement, fait presque le chemin inverse, à la manière d’une vraie nature morte, frisant le statut d’objet sans jamais l’atteindre. Il garde sa profonde humanité, parfois sa charge érotique, sans voyeurisme pourtant.
Y a-t-il un point de rencontre entre l’objet et le corps, un point où ils sont presque sur un pied d’égalité pour notre œil ? J’aime le croire, et c’est en tout cas ce qui a motivé mon travail, une tentative d’approche sur les choses de la vie, ou plutôt les choses et la vie ; à vous de voir.
C’est ce qu’offrent à voir certains objets. Ces objets, par le biais de l’appropriation, acquièrent une identité qui leur est propre, à la limite entre la nature morte et l’objet « animé », à savoir dotés d’une âme et d’un souffle.
Le corps humain, saisi partiellement, fait presque le chemin inverse, à la manière d’une vraie nature morte, frisant le statut d’objet sans jamais l’atteindre. Il garde sa profonde humanité, parfois sa charge érotique, sans voyeurisme pourtant.
Y a-t-il un point de rencontre entre l’objet et le corps, un point où ils sont presque sur un pied d’égalité pour notre œil ? J’aime le croire, et c’est en tout cas ce qui a motivé mon travail, une tentative d’approche sur les choses de la vie, ou plutôt les choses et la vie ; à vous de voir.
